RÉMI LÉONARD
La députée de Sherbrooke Christine Labrie prévoyait passer une journée avec une intervenante de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) pour mieux comprendre son quotidien, avant de voir sa demande refusée, une situation qu’elle a publiquement dénoncée cette semaine.
«De toute évidence, ce refus-là était politique. C’est l’analyse que j’en fais. Je pense qu’ils ne souhaitent pas me voir aller fouiller là-dedans», a-t-elle commenté en entrevue, attribuant la décision au Ministère de la Santé et des Services sociaux. «Ça ne vient pas du CIUSSS [de l’Estrie – CHUS]», a-t-elle catégoriquement affirmé, même si ce dernier a «appliqué» le refus.
Comme solution de rechange, la députée de Sherbrooke a plutôt choisi de lancer un appel aux travailleurs de la DPJ afin de récolter leurs témoignages. «C’est pas des témoignages qui sont rassurants, par contre. Ce que j’entends c’est plutôt alarmant», a-t-elle rapporté.
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